Parc potager de la crapodine

Les jardins collectifs à Nantes

Parc potager de la crapodine

Jardins collectifs à Nantes : comment faire son choix ?

Jardins familiaux, jardins partagés et potagers solidaires. À Nantes, ces trois types de jardins coexistent, pour satisfaire les besoins et envies de chacun. 

jardins collectifs nantes

Plus d’une centaine ! C’est le nombre de jardins collectifs que compte Nantes en tout. Des familiaux, des partagés et des solidaires. La diversité de ces jardins est le fruit de l’histoire des quartiers et des habitants qui les font vivre. Les Nantais sont chaque année de plus en plus nombreux à cultiver – et transmettre – cette passion du jardinage citoyen et collectif.

Chaque Nantais devrait trouver son bonheur dans l’un des 108 jardins collectifs.

Les jardins familiaux, pour la culture vivrière

Les jardins familiaux sont des parcelles de terrain, de 50 à 150 m², mises à la disposition des habitants de Nantes (une par foyer) pour la culture potagère. Elles sont animées par des associations de jardiniers, qui conventionnent avec la Ville de Nantes. On en compte aujourd’hui 27, composés en tout de 1163 parcelles.

Si avant on pouvait faire une demande même si l’on disposait d’un jardin (de moins de 100 m²), désormais, les parcelles ne seront attribuées qu’à des Nantais n’ayant pas de jardin.

Pour faire une demande de parcelle : 

Les jardins partagés, pour cultiver ensemble

Un jardin partagé est un potager ouvert à tous qui se conçoit, se construit et se cultive collectivement. Il est toujours géré par une association. On vient donc bêcher, planter, tailler, prendre soin des végétaux et les récoltes sont ensuite partagées.

Il en existe aujourd’hui 56 à Nantes. On peut :

Les potagers solidaires, pour produire pour les autres

Depuis 2020, Nantes compte aussi des potagers solidaires. 25 parcelles sont ainsi cultivées par les agents de la ville et les habitants. 20 tonnes de légumes frais sont ainsi récoltées en moyenne chaque année et redistribuées aux foyers les plus modestes, via des associations de quartier ou l’aide alimentaire. 

Pour y jardiner, il suffit d’en identifier un près de chez soi et de se rapprocher de l’association qui le gère.